https://mabib.fr/maldoror/recherche/simple/tri/alpha_titre/id_catalogue/17/format/atomBibliothèque Maldoror2024-03-28T17:04:34+01:00Bokeh Portal Libraryhttps://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/AVIGNON-LEROYAUMEDUTHEATRE-BAECQUEA-290-GALLIMARD-1996-1/id/30751/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Baecque, Antoine deEn septembre 1947, la Semaine d'art réunit en Avignon une exposition de peinture, des concerts et trois créations dramatiques dirigées par Jean Vilar. Sans qu'il le sût un festival était né. Au fil des années, l'expérience est reconduite, avec le soutien de la municipalité et des habitants. La Cour d'honneur du palais des Papes est promue temple du théâtre, la troupe de Vilar devient le TNP, Gérard Philipe triomphe dans Le Cid et Le Prince de Hombourg. Avignon s'impose comme le rendez-vous culturel de tous les étés. Puis le Festival s'ouvre à d'autres metteurs en scène, d'autres arts, d'autres publics. Du cloître des Carmes à la chartreuse de Villeneuve, de nouveaux lieux sont associés à cette effervescence théâtrale. Parallèlement, se crée le Festival «off» qui investit la ville entière. Depuis la mort de Jean Vilar en 1971, ses successeurs ont poursuivi l'aventure et fait d'Avignon l'une des scènes majeures du spectacle vivant en Europe. Historien du spectacle, passionné de théâtre, Antoine de Baecque nous raconte l'épopée du festival d'Avignon, de 1947 à nos jours. ]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/AVIGNON50FESTIVALS--DAVIDC--EDLOCALESDEFRANCE-1996-1/id/30885/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:33+01:00David, Claire]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/LEDRAMEROMANTIQUE--UBERSFELDA--BELIN-1993-1/id/30760/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Ubersfeld, Anne]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/ENCYCLOPEDIEDUTHEATRE-18501914-----1/id/30887/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:33+01:00https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/HISTOIREDUTHEATREDESSINEE-DELAPREHISTOIREANOSJ-DEGAINEA--AGNIZET-1992-1/id/30643/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Degaine, AndréPouvant se lire ou se consulter à plusieurs niveaux, cette vaste synthèse (qui ne néglige pas les prodigieuses étrangetés - méconnues ! - de l'Histoire du Théâtre) concerne tous les publics, du très jeune lecteur (qui se laissera imprégner par les illustrations) au "théâtrophile" curieux et cultivé (qui goûtera l'inédit absolu de certaines pages) en passant par les lycéens, étudiants et, bien sûr, enseignants/enseignés des Ecoles de Théâtre. Salué par Jérôme Garcin, à la parution de ce livre en 1992, comme le "Facteur Cheval" du théâtre, André Degaine a conçu et réalisé un livre entièrement écrit à la main (calligraphié !) et, en grande partie, illustré par lui-même. Livre hors norme,cet ouvrage a déjà remporté plusieurs prix et un énorme succès.]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/LETHEATRE--HUBERTM--ACOLIN-1988-1/id/30758/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Hubert, Marie-ClaudeCursus.]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/LETHEATRE--COUTYD--BORDAS-1989-1/id/30886/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:33+01:00Couty, DanielLe théâtre occidental existe depuis la nuit des temps. De l'amphithéâtre d'Epidaure à la scène du Théâtre-Français, du Teatro Olympico de Vicence, avec ses décors en trompe-l'?il, aux tréteaux de la rue, de la scène à l'italienne aux espaces éclatés, l'histoire du théâtre est autant celle des hommes - auteurs, acteurs, directeurs, metteurs en scène... - que celle du spectacle. Le Songe d'une nuit d'été, " monté " par Max Reinhardt, Jiri Trnka, Jacques Fabbri, Ariane Mnouchkine ou Jorge Lavelli reste bien sûr une pièce de Shakespeare, mais sa " lecture " peut donner lieu à des versions contradictoires, féeriques, tragiques ou comiques. Ainsi l'histoire du spectacle éclaire-t-elle la représentation. Ce livre propose aussi au spectateur de passer de l'autre côté du miroir, de pénétrer dans les coulisses, d'entrer dans l'alchimie subtile qui met en espace un texte et lui donne vie, forme et couleur. En intégrant cette autre composante essentielle du spectacle : le public, sans lequel le théâtre n'existerait pas.]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/LETHEATREENFRANCE-DUMOYENAGEANOSJOURS-JOMARONLEYVASTREJ--LIBRAIRIEGENERALEFRANCAISE-1993-1/id/30752/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Jomaron-Leyvastre, Jacqueline de]]>https://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/THEATREREFLETDELA4EMEREPUBLIQUE--GENEVIEVELATOUR----1/id/30884/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:33+01:00Geneviève Latourhttps://mabib.fr/maldoror/recherche/viewnotice/clef/THEATRESENLUTTE-LETHEATREMILITANTENF-NEVEUXO--LADECOUVERTE-2007-1/id/30756/tri/alpha_titre/id_catalogue/172024-03-24T07:13:32+01:00Neveux, OlivierDepuis les années 1960, de nombreuses expériences théâtrales ont revendiqué en France un clair dessein politique. Inscrit au c'ur des luttes (anti-impérialistes, ouvrières, féministes, immigrées, homosexuelles, altermondialistes, etc.), ce théâtre militant s'est donné pour but de contribuer, à sa manière, aux combats d'émancipation de son temps. Injustement déprécié ou ignoré, il constitue pourtant tout un pan de l'histoire théâtrale. Et c'est cette histoire inédite et passionnante que l'on découvrira dans cet ouvrage extrêmement documenté. Comment représenter la colère, l'injustice et l'espérance ' Quelles formes pour dire la lutte ou expliquer les mécanismes du capitalisme ' Et à qui de telles représentations doivent-elles être destinées ' Contrairement aux idées reçues, le théâtre militant n'a jamais cessé d'inventer des solutions dramaturgiques et scéniques pour mettre en scène le présent : un présent à transformer. Héritier d'Erwin Piscator, de Bertolt Brecht et des troupes d'agit-prop soviétiques, ce théâtre n'est pas homogène : il est traversé d'options politiques et esthétiques diverses, voire contradictoires, d'Armand Gatti à Augusto Boal, en passant par Alain Badiou, André Benedetto et de nombreux collectifs (la Troupe Z, Al Assifa, le Levant, le Groupov'). Revenir sur ces propositions, sur leurs richesses et leurs impasses, c'est tout autant s'opposer à l'oubli que tenter d'ouvrir des pistes pour le théâtre militant d'aujourd'hui.]]>