Les chemins du communisme libertaire en Espagne, 1868-1937 n° 3
Nouveaux enseignements de la révolution espagnole, juillet 1936-septembre 1937livresAnnée : 2019Auteur : MyrtilleEditeur : EDITIONS DIVERGENCES EDISION DIVERJANSDescription : e 20 juillet 1936 le coup d'Etat échoue dans une partie de l'Espagne du fait de la résistance de la population qui s'adonne aussitôt à la dépossession des possédants. En Catalogne l'Etat est à terre, les plus grands patrons et propriétaires ont fui. Le mouvement ouvrier le plus radical et le mieux armé du camp républicain se retrouve maître de la situation. Pour autant, les leaders de la CNT-FAI n'appellent pas à la mise en route du communisme libertaire.
Ils vont "collectiviser" le secteur productif sous l'égide de l'Etat non aboli, maintenir le salariat et inciter la classe ouvrière à s'adapter à l'organisation scientifique du travail. Simultanément, une partie de la militaneia et de la base du mouvement s'engage dans une sortie plus radicale du capitalisme, notamment en Aragon. Cette "minorité nombreuse, active, puissante, guidée par un idéal [...] continuait à travers l'histoire une lutte commencée au temps de Bakounine et de la Première Internationale." (C.
Leval) La CNT dans la révolution espagnole n° 1livresAnnée : 2017Auteur : José PeiratsEditeur : NOIR ET ROUGE ROUJDescription : à la demande de la CNT (Confédération nationale du travail) en exil, José Peirats (1908-1989) ? ouvrier briquetier, militant anarcho-syndicaliste dès ses plus jeunes années puis collaborateur de la presse confédérale ? fut chargé de rédiger l?histoire de l?organisation, de sa naissance jusqu?à la fin de la guerre espagnole. Une décision courageuse, alors que la centrale anarcho-syndicaliste était fragilisée par une scission en exil et dans l?Espagne franquiste, et que la répression des services secrets du régime ne ménageait ni l?une ni l?autre.
Bien que n?étant pas historien de profession, José Peirats prit à c?ur la demande et se lança dans un travail de longue haleine. Pour ce faire, il recueillit de nombreux documents, consulta maints protagonistes directs des événements, puis, au début des années 1950, il conçut et rédigea son ouvrage. Comme il le dit lui-même dans ses introductions aux deux premières éditions du livre, il imaginait pouvoir embrasser en un seul volume tous les aspects de l?histoire de la centrale ouvrière anarchiste.
Son effort accoucha finalement des trois tomes de La CNT en la revolución española, qui parurent entre 1951 et 1953, et ? de l?aveu de l?auteur lui-même ? ne furent guère lus hors des milieux cénétistes. C?est avec sa réédition, en 1971, par les soins de la prestigieuse maison d?édition antifranquiste Ruedo Ibérico que le livre de José Peirats devint un ouvrage de référence, indispensable à tous les lecteurs soucieux de connaître le rôle de l?anarcho-syndicalisme durant la guerre civile espagnole du point de vue de l?un de ses militants. Un ouvrage dont, faisant fi de la froide objectivité issue de la consultation des « fiches bibliographiques », l?auteur revendiquait le caractère délibérément partisan.
Il était bien temps que, plus de soixante ans après sa première parution en langue castillane, les lecteurs français puissent enfin lire ce grand classique de l?historiographique anarchiste de la guerre et de la révolution espagnoles. Nous sommes convaincus que, en dépit du passage des années, ils en tireront le plus grand profit. Durruti dans le labyrinthelivresAnnée : 2007Auteur : Miguel AmorosEditeur : EDITIONS DE L ENCYCLOPEDIE DES NUISANCES EDISION ANSIKLOPEDI NUISANSDescription : "Nous vous montrerons, à vous bolcheviques russes et espagnols, comment on fait la révolution et comment on la mène à son terme. Chez vous, il y a une dictature, dans votre Armée rouge, il y a des colonels et des généraux, alors que dans ma colonne, il n'y a ni supérieur ni inférieur, nous avons tous les mêmes droits, nous sommes tous des soldats, moi aussi je suis un soldat."
Dans ce qu'il est convenu d'appeler la guerre d'Espagne, Durruti incarne la tentative, combattue par les staliniens comme par les "anarchistes de gouvernement", de faire triompher un antifascisme révolutionnaire ; de mener, comme il le disait, "la guerre et la révolution en même temps". La CNT dans la révolution espagnole n° 3 : Tome IIIlivresAnnée : 2019Auteur : José PeiratsEditeur : NOIR ET ROUGE ROUJDescription :
à la demande de la CNT (Confédération nationale du travail) en exil, José Peirats (1908-1989) ? ouvrier briquetier, militant anarcho-syndicaliste dès ses plus jeunes années puis collaborateur de la presse confédérale ? fut chargé de rédiger l?histoire de l?organisation, de sa naissance jusqu?à la fin de la guerre espagnole. Une décision courageuse, alors que la centrale anarcho-syndicaliste était fragilisée par une scission en exil et dans l?Espagne franquiste, et que la répression des services secrets du régime ne ménageait ni l?une ni l?autre.
Bien que n?étant pas historien de profession, José Peirats prit à c?ur la demande et se lança dans un travail de longue haleine. Pour ce faire, il recueillit de nombreux documents, consulta maints protagonistes directs des événements, puis, au début des années 1950, il conçut et rédigea son ouvrage. Comme il le dit lui-même dans ses introductions aux deux premières éditions du livre, il imaginait pouvoir embrasser en un seul volume tous les aspects de l?histoire de la centrale ouvrière anarchiste.
Son effort accoucha finalement des trois tomes de La CNT en la revolución española, qui parurent entre 1951 et 1953, et ? de l?aveu de l?auteur lui-même ? ne furent guère lus hors des milieux cénétistes. C?est avec sa réédition, en 1971, par les soins de la prestigieuse maison d?édition antifranquiste Ruedo Ibérico que le livre de José Peirats devint un ouvrage de référence, indispensable à tous les lecteurs soucieux de connaître le rôle de l?anarcho-syndicalisme durant la guerre civile espagnole du point de vue de l?un de ses militants. Un ouvrage dont, faisant fi de la froide objectivité issue de la consultation des « fiches bibliographiques », l?auteur revendiquait le caractère délibérément partisan.
Il était bien temps que, plus de soixante ans après sa première parution en langue castillane, les lecteurs français puissent enfin lire ce grand classique de l?historiographique anarchiste de la guerre et de la révolution espagnoles. Nous sommes convaincus que, en dépit du passage des années, ils en tireront le plus grand profit. La CNT dans la révolution espagnole n° 2 : Tome IIlivresAnnée : 2019Auteur : José PeiratsEditeur : NOIR ET ROUGE ROUJDescription :
à la demande de la CNT (Confédération nationale du travail) en exil, José Peirats (1908-1989) ? ouvrier briquetier, militant anarcho-syndicaliste dès ses plus jeunes années puis collaborateur de la presse confédérale ? fut chargé de rédiger l?histoire de l?organisation, de sa naissance jusqu?à la fin de la guerre espagnole. Une décision courageuse, alors que la centrale anarcho-syndicaliste était fragilisée par une scission en exil et dans l?Espagne franquiste, et que la répression des services secrets du régime ne ménageait ni l?une ni l?autre.
Bien que n?étant pas historien de profession, José Peirats prit à c?ur la demande et se lança dans un travail de longue haleine. Pour ce faire, il recueillit de nombreux documents, consulta maints protagonistes directs des événements, puis, au début des années 1950, il conçut et rédigea son ouvrage. Comme il le dit lui-même dans ses introductions aux deux premières éditions du livre, il imaginait pouvoir embrasser en un seul volume tous les aspects de l?histoire de la centrale ouvrière anarchiste.
Son effort accoucha finalement des trois tomes de La CNT en la revolución española, qui parurent entre 1951 et 1953, et ? de l?aveu de l?auteur lui-même ? ne furent guère lus hors des milieux cénétistes. C?est avec sa réédition, en 1971, par les soins de la prestigieuse maison d?édition antifranquiste Ruedo Ibérico que le livre de José Peirats devint un ouvrage de référence, indispensable à tous les lecteurs soucieux de connaître le rôle de l?anarcho-syndicalisme durant la guerre civile espagnole du point de vue de l?un de ses militants. Un ouvrage dont, faisant fi de la froide objectivité issue de la consultation des « fiches bibliographiques », l?auteur revendiquait le caractère délibérément partisan.
Il était bien temps que, plus de soixante ans après sa première parution en langue castillane, les lecteurs français puissent enfin lire ce grand classique de l?historiographique anarchiste de la guerre et de la révolution espagnoles. Nous sommes convaincus que, en dépit du passage des années, ils en tireront le plus grand profit.