Les égorgeurslivresAnnée : 1999Auteur : Benoist ReyEditeur : EDITIONS DU MONDE LIBERTAIRE EDISION MOND LIBERTAIRDescription : La main rougelivresAnnée : 2013Auteur : Didier DaeninckxEditeur : AD LIBRIS LIBRIDescription : Martin Dequinquert perd sa femme le 11 septembre 2001, dans l'attentat du World Trade Center. Dès lors, son histoire familiale le rattrape l'obligeant à quitter New York pour repartir en France Ma guerre d'AlgérielivresAnnée : 2003Auteur : Bernard GerlandEditeur : GOLIAS GOLIADescription : Benoist ReylivresAnnée : 1999Auteur : Raymond Vidal-PradinesEditeur : EDITIONS DU MONDE LIBERTAIRE EDISION MOND LIBERTAIRDescription : HévellivresAnnée : 2018Auteur : Patrick PécherotEditeur : GALLIMARD GALIMARDescription : La désobéissance civile des réfractaires non-violents à la guerre d'AlgérielivresAnnée : 2017Auteur : Erica FratersEditeur : LES EDITIONS LIBERTAIRES LE EDISION LIBERTAIRDescription : On ignore, on ne souvient pas ou on refuse d'en parler. Pourtant, la désobéissance civile pendant la guerre d'Algérie (1954-1962) ne fut pas mineure. Désertions, insoumissions, dénonciation de la torture et du colonialisme, actions de solidarité diverses... valurent à ces réfractaires de subir une répression féroçe. Ce mouvement fut principalement organisé par l'Action civique non-violente. Ce livre raconte l'histoire de ces braves d'entre les braves qui ont sauvé l'honneur de la France. Réfractaires à la guerre d'Algérie : 1959-1963livresAnnée : 2005Auteur : Erica FratersEditeur : SYLLEPSE SILEPSDescription : Avoir l'envie de se rencontrer pour se raconter tant d'années après était parfaitement déraisonnable. Déraisonnables, ils avaient déjà montré qu'ils pouvaient l'être. Leur livre nous apprend comment ils ont décidé ensemble de dire non et d'attiser une conscience, si actuelle, de la désobéissance civile comme forme incontournable de toute civilisation humaine? Honneur à vous, les insoumis, les déserteurs, les objecteurs, les réfractaires qui avez eu le courage de «résister» de dire non, à la pacification, à la torture, aux répressions, aux camps d'internement, le courage de «désobéir aux ordres» à la loi même, aux violations des droits de l'homme, droits individuels et collectifs, droit à l'autodétermination et à l'indépendance du peuple algérien... Vous étiez et vous restez modestes, vous faisiez ce que vous dictait votre conscience, et vos refus étaient multiples, variés, personnels ; ils étaient riches de leur diversité. Chroniques de la désobéissance : et autres texteslivresAnnée : 2012Auteur : André BernardEditeur : ATELIER DE CREATION LIBERTAIRE ATELI KREASION LIBERTAIRDescription : Faire pour une petite radio locale, lors d?une séquence libertaire, tous les quinze jours, en moins de dix minutes, sans avoir lu seulement la quatrième de couverture, la recension d?un livre ou la critique d?une revue, tel était l?engagement de départ.
Quels ouvrages choisir ? Ceux qui traitent de révolte sociale, d?anarchisme, de désobéissance civile, de non-violence active ; avec par moments de trop brefs écarts vers l?expression poétique en tout genre.
L?intérêt d?en faire un livre ? C?est de réunir ce qui est naturellement éparpillé tout en attrapant, à la découverte du « nouveau », le fil conducteur qui donnera sens à une quête existentielle et militante, en tentant de dégager des perspectives avec à l?esprit l?exigence d?une cohérence théorique et pratique ; cela sans glisser vers une posture par trop obsessionnelle.
Des articles écrits çà et là dans des revues et des journaux accompagnent ce cheminement quotidien interminablement repris.
Le monde est sans doute insensé, mais il bouge. à nous de tenter de l?orienter, de lui donner un sens...
Un texte final, définitivement provisoire, s?essaie à rassembler des « questions pour douter, des affirmations à nuancer, des négations pour précise r » et propose à ceux qui sont pleins de certitudes de débattre sur ce qui perdure dans les idées libertaires et sur les raisons d?espérer un avenir à notre goût. L'écartèlement algérienlivresAnnée : 2012Auteur : Jean-Marie TixierEditeur : LES ED LIBERTAIRES LE LIBERTAIRDescription : Jean-Marie Tixier est né le 23 décembre 1949, du côté d?Oran. C?est, donc, un « pied noir ».
Ses parents étaient instituteurs. Hussards noirs de la république, ils apprenaient à lire, écrire, compter à TOUS les enfants de leur bled. Ils étaient donc plus qu?appréciés par la population « indigène ».
Et c?est tout naturellement, qu?après l?indépendance, ils resteront plusieurs années en Algérie.
Sa famille était de là-bas depuis plusieurs générations. Jean-Marie était donc très attaché à son pays.
Fin des années 1970, après une arrivée en France, il est retourné chez lui. Quelques années. Comme prof à la fac d?Alger. Non au titre de la coopération, mais comme « simple » prof algérien.
Depuis, il reste très attentif à ce qui se passe dans son pays.
Aux niveaux politique, économique, social et cinématographique.
Grand-père depuis peu, il a tenu à raconter son histoire et celle de sa famille. Pour ses enfants, ses petits-enfants? et le reste du monde.
Disons-le tout net, ce livre, magnifiquement écrit, est bouleversant.
L?évocation de son passé est haute en couleurs et en parfums d?authenticité. En se démarquant tout autant du colonialisme que des différents gouvernements qui ont confisqué l?indépendance, il se retrouve dans le cheminement d?Albert Camus.
Écartelé entre ses origines algériennes et son présent français, il n?a eu de cesse d?établir des passerelles entre ces deux rives de la Méditerranée qui ont un passé et peut-être un avenir commun.
Comme le dit excellemment Benoist Rey, dans sa préface, « nous l?accompagnons dans cet espoir insensé ».
JEAN-MARC RAYNAUD Mon oncle d'AlgérielivresAnnée : 2010Auteur : Nathalie FunèsEditeur : STOCK STOKDescription : « Dans mon souvenir d'enfant, mon grand-oncle, Fernand Doukhan était un vieux grincheux qui semblait se battre contre des moulins à vent. Dix ans après sa mort, cette image est venue se heurter à une notice biographique de quelques lignes, sur son passé d'anarchiste en Algérie, que j'ai découverte sur Internet. C'est ainsi qu'est née l'idée de ce livre. Il venait d'une famille juive berbère, comme la moitié des juifs d'Algérie, sans doute installée là depuis le xie siècle. Il voit le jour à Alger, en 1913. Il est le premier homme de la famille à naître français, le premier à avoir un prénom qui ne soit pas hébraïque, le premier à apprendre le français à l'école, le premier à devenir instituteur, alors que de génération en génération, chez les Doukhan, on était matelassier, brocanteur, domestique... Il va partir au front dès le début de la Seconde Guerre mondiale pour défendre le drapeau français. Il est fait prisonnier, le 23 octobre 1940, envoyé pour cinq ans dans les stalags allemands, alors qu'à Alger le régime de Vichy supprime le décret Crémieux, retire leur nationalité aux juifs, leur interdit d'enseigner. à son retour, instituteur à l'École Lazerges, dans le quartier de Bab el Oued, il devient anarchiste, commence à s'emporter contre cette France coloniale qui laisse derrière les grilles de ses écoles la majorité des enfants musulmans. Quand éclatent les premières attaques du FLN, en novembre 1954, les anarchistes et les trotskistes sont les seules mouvances politiques à réclamer la fin de la colonisation française. Fernand Doukhan milite de plus en plus activement. Il s'insurge, dans le journal Le Libertaire, contre « la dictature française en Algérie»... Il est arrêté le 28 janvier 1957, en pleine bataille d'Alger. Parce qu'il a fait grève à l'appel du FLN. Il est à nouveau emprisonné. Cette fois-ci au camp de Lodi, à une centaine de kilomètres au sud d'Alger. Là où moisissent les « Français de souche » suspectés d'être favorables aux thèses indépendantistes et où sera aussi enfermé Henri Alleg, l'auteur de La Question. Le 30 mars 1958, quatre ans avant l'indépendance, des militaires viennent le chercher, le poussent dans un camion, puis sur un bateau en direction de Marseille. Sur simple arrêt préfectoral, Fernand Doukhan vient d'être expulsé d'Algérie. Il n'y retournera plus jamais. Il est mort en 1996 à Montpellier. Sans laisser de souvenirs, de correspondances, de journal intime, ni même d'héritiers. Ce livre a été un long voyage dans le passé, à la recherche des traces qui restaient de lui, en France, en Algérie, dans les archives, auprès des témoins qui ont croisé sa route. » Nathalie Funès Les anarchistes français face aux guerres coloniales : 1945-1962livresAnnée : 2020Auteur : Sylvain BoulouqueEditeur : ATELIER DE CREATION LIBERTAIRE ATELI KREASION LIBERTAIRDescription : Les guerres coloniales posent aux anarchistes deux questions fondamentales. La première est celle de la guerre, conduite par la métropole. La seconde est celle de la formation d'un État et d'une nation indépendants. Pour sa recherche, Sylvain Boulouque, s'appuyant sur une solide documentation (en particulier la pressée variée, et rare, du mouvement anarchiste), a choisi de sérier ces problèmes et de séparer ces deux éléments, permettant ainsi d'en dégager la signification et la valeur interne. Une partie de cette étude est consacrée aux attitudes des anarchistes vis-à-vis du pouvoir français qui conduit la guerre, et par conséquent du colonisateur, d'abord en Indochine puis en Algérie, les questions malgache, marocaine et tunisienne étant incluses. Portant sur l'analyse des soulèvements coloniaux et les réactions qu'ils entraînent, l'auteur a tenté, ensuite, d'esquisser une typologie des réactions révélant la pluralité de culture politique et les sensibilités libertaires face à cette histoire qui continue à nous interroger. Etre anarchiste oblige !livresAnnée : 2010Auteur : André BernardEditeur : ATELIER DE CREATION LIBERTAIRE ATELI KREASION LIBERTAIRDescription : C?est le récit de vie d?un jeune libertaire confronté au militarisme et à la guerre d?Algérie de 1954, le livre témoignage d?un réfractaire à cette guerre coloniale ; ce refus se révélera comme l?acte fondateur d?un parcours.
Parcours à la recherche d?une cohérence personnelle et militante entre un filon, trop négligé, de devanciers libertaires hostiles à la violence et
une action plus actuelle de désobéissance civile non violente.
L?adhésion à l?anarchisme, à ses propositions et à ses rejets, fut vécue comme une « aimantation » vers un ensemble de théories et de pratiques propres à enthousiasmer et qui éclatent en singularités multiples et en contradictions diverses?
Dans l?ignoble aujourd?hui, l?auteur dit sa quête d?un futur qui se dessine, trop lentement, sous nos yeux.
Des écrits ? repris du Monde libertaire et de la revue anarchiste Réfractions ? accompagnent et éclairent ce choix existentiel.
La créativité sociale et l?imagination expérimentale qui sont ici appelées se comprendront, en arrière-plan, par une aventure plastique et poétique exprimée par ailleurs, fruit de rencontres improbables.