L'imposture de la modernitélivresAnnée : 2017Auteur : Jean-Pierre TertraisEditeur : LES EDITIONS LIBERTAIRES LE EDISION LIBERTAIRDescription : La modernité, le progrès... nous sont présentées comme UNE évidence contre laquelle on ne peut pas aller. Sauf qu'il y a plusieurs conceptions de la modernité, du progrès... Si la machine à laver fait l'unanimité ce n'est pas le cas du nucléaire. Alors, quid de tout cela ? C'est à ce genre de problématique que ce livre répond à l'aune des questions qui tuent. La modernité, le progrès... en quoi, pour quoi et surtout pour qui ? Qu'on ne s'y trompe pas, ce livre est un hymne à la seule modernité, au seul progrès... qui vaillent. La modernité, le progrès... à la mode d'un abrutissement du peuple au seul profit des multinationales, non. La modernité, le progrès au bénéfice matériel et culturel du peuple, oui. Un livre rare, donc, à l'époque de la marchandisation des choses et de la vie et de la novlangue qui parle de plan de retour à l'emploi à l'occasion des plans de licenciements. Nous voulons des coquelicotslivresAnnée : 2018Auteur : Fabrice NicolinoEditeur : EDITIONS LES LIENS QUI LIBERENT EDISION LE LIN KI LIBERANDescription : « Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l'eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l'estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises.
Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance.
L' exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.
Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les
sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares.
Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets !
Rendez-nous la beauté du monde !»