Les cent mille chants n° 1
Les Cent mille chants : 1livresAnnée : 1986Auteur : MilarepaEditeur : FAYARD FAIARDescription : Je suis Milarépa, le meilleur des yogis. Je suis celui qui pourchasse le visage des apparences, Celui qui accueille tous les souhaits. Je suis un yogi sans opinions, Celui qui ne s'empresse jamais, quoi qu'il advienne. Je suis le renonçant sans vivres, Le mendiant sans possessions, Le vagabond nu. Je suis celui qui a vaincu toutes les pratiques, Je demeure ici mais n'y réside pas, Je suis un Fou, heureux de la mort, Je ne possède rien, je n'ai besoin de rien. Ainsi chantait Milarépa (XI e siècle), l'ascète qui incarne le Bouddha tibétain, lorsque, quittant la solitude de son ermitage, il rencontrait des villageois et leur racontait les étapes de son cheminement spirituel. Ses Cent Mille Chants ont été recueillis puis repris pendant des siècles par ses disciples qui les ont immortalisés. Marie-José Lamothe en traduit aujourd'hui la première partie en français et restitue la magie d'une parole inspirée où passe le souffle des grands espaces himalayens. Ce livre a obtenu le prix Alexandra David-Néel (1987). Les cent mille chants n° 3 : 3livresAnnée : 1993Auteur : MilarepaEditeur : FAYARD FAIARDescription : J'ai fait ce que je devais faire pour l'enseignement du Bouddha , dit Milarépa dans ce dernier volume des Cent Mille Chants, où l'ermite tibétain rencontre son deuxième grand fils spirituel, Gampopa. Celui-ci deviendra le fils bâtisseur, le véritable fondateur de l'ordre des Kagyüpas, lignée de transmission orale de maître à disciple, encore vivante de nos jours. Milarépa chante, rit, danse, plaisante et parfois se moque des villageois venus jusqu'à son ermitage pour lui demander un enseignement. Comme son maître Marpa le Traducteur, il a dépassé en esprit toutes les contraintes et tous les comportements conventionnels. Ses réponses aux interrogations de Gampopa sur ses expériences et sur sa pratique du yoga composent l'un des moments les plus surprenants de l'oeuvre. La joie de Milarépa lui permet d'être simple et profond. Il dispense les vérités ultimes de sa philosophie avec la perfection de celui qui, en tout, perçoit l'essentiel. Tout se tient dans une réalité absolument vide de substance. Le yogi ne fixe pas ce qui est transitoire. Les variations lumineuses de l'ouverture d'être N'est-ce pas ce que l'on nomme les étapes de la route' Milarépa : ses méfaits, ses épreuves, son illuminationlivresAnnée : 1990Auteur : MilarepaEditeur : FAYARD FAIARDescription : L'autobiographie de Milarépa est certainement la meilleure clé pour comprendre le bouddhisme traditionnel du Tibet. Magistralement traduit par Jacques Bacot, ce récit où se mêlent merveilleux et poésie est aussi l'un des plus grands documents spirituels de l'humanité. Selon l'un de ses disciples qui consigna sa vie au XII e siècle, Milarépa pratiqua la magie noire et commit d'innombrables méfaits pour venger l'honneur de sa famille. Puis, pris de remords, il décida de rejoindre un célèbre maître, Marpa, qui le soumit à toutes sortes d'épreuves avant d'accepter de l'instruire. Enfin initié à la doctrine du Bouddha, Milarépa se retira pour méditer dans les montagnes, où il atteignit le nirvana. Il passa les dernières années de sa vie en allant d'ermitage en ermitage, où de nombreux disciples écoutèrent son enseignement et le répandirent. Les cent mille chants n° 2 : 2livresAnnée : 1989Auteur : MilarepaEditeur : FAYARD FAIARDescription : Je suis Milarépa, le meilleur des yogis.
Je suis celui qui pourchasse le visage des apparences,
Celui qui accueille tous les souhaits.
Je suis un yogi sans opinions,
Celui qui ne s'empresse jamais, quoi qu'il advienne.
Je suis le renonçant sans vivres,
Le mendiant sans possessions,
Le vagabond nu.
Je suis celui qui a vaincu toutes les pratiques,
Je demeure ici mais n'y réside pas,
Je suis un Fou, heureux de la mort,
Je ne possède rien, je n'ai besoin de rien.
Ainsi chantait Milarépa (XIe siècle), l'ascète qui incarne le Bouddha tibétain, lorsque, quittant la solitude de son ermitage, il rencontrait des villageois et leur racontait les étapes de son cheminement spirituel. Ses Cent Mille Chants ont été recueillis puis repris pendant des siècles par ses disciples qui les ont immortalisés. Marie-José Lamothe en traduit aujourd'hui la première partie en français et restitue la magie d'une parole inspirée où passe le souffle des grands espaces himalayens.