Devant mes yeux la mort..
George Jackson
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Quelques jours avant de mourir des balles que lui avait values une prétendue tentative d'évasion, George Jackson terminait ce livre dans la prison de San Quentin en Californie. Arrêté à l'âge de dix-huit ans pour présomption de vol dans une station-service, son avocat lui conseilla d'avouer ce délit dont il …
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- Devant mes yeux la mort..
- Auteur(s)
- George Jackson (Auteur)
- Collation
- 212 p. ; 22 cm
- Collection(s)
- Collection Témoins
- Année
- 1972
- Sujet(s)
- Black Panther Party (BPP)Mouvement noir : Etats-Unis (USA) : 1945-1970Racisme : Etats-Unis (USA)Prisons : États-Unis
- Livres et Vidéos
- Groupes ethniques et nationaux
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Quelques jours avant de mourir des balles que lui avait values une prétendue tentative d'évasion, George Jackson terminait ce livre dans la prison de San Quentin en Californie. Arrêté à l'âge de dix-huit ans pour présomption de vol dans une station-service, son avocat lui conseilla d'avouer ce délit dont il se défendait : le larcin se montait à 70 dollars, Jackson fut condamné à un an de prison renouvelable à vie. Quand il mourut, il avait passé onze années en prison, dont sept de réclusion. Ce livre ne dit pas seulement comment et pourquoi. Hanté pendant qu'il écrivit ces pages par le souvenir de Jonathan, son frère assassiné, il nous donne ici, de son combat dans les États-Unis d'aujourd'hui, une vision tragique. Il parle aux pauvres, aux prisonniers, aux asservis du monde entier : «Déjà meurent des gens que l'on aurait pu sauver, des générations encore mourront, ou vivront d'une demi-vie, misérable, amputée, si vous n'êtes pas là pour agir... Découvrez dans la révolution votre humanité, votre amour. Passez le flambeau. Rejoignez-nous, sacrifiez votre vie pour le peuple.» Les lettres de prison des Frères de Soledad, parues dans la même collection, nous avaient fait connaître la voix du militant et du poète. Devant mes yeux la mort... nous entretient de thèmes plus théoriques : le comportement du révolutionnaire noir, la conception lénino-maoïste du parti et de l'avant-garde, la guérilla urbaine, le refus de tout compromis libéral ou culturel, le refus d'un pseudo-nationalisme noir, la nécessité de surmonter le «contrat d'oppression» par le «parfait désordre», l'essence morale du «Frankenstein» américain, la liberté au bout du fusil. C'est une guerre née du parfait amour et de la parfaite haine que prêche cette voix posthume.
- Editeur(s)
- Gallimard
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Médias
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